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Le peuple du fleuve Irrawaddy à Mandalay

Mandalay - portrait d'une femme du fleuve

Pour sentir le souffle d’un pays

Ma première visite à Mandalay a été consacrée au peuple du Fleuve Irrawaddy. Car je voulais sentir le souffle d’un pays, voir comment les gens vivaient leur quotidien. En y consacrant un peu de temps, je me suis rendu compte de l’extrême dénuement de cette population qui vit le long du plus grand fleuve de Birmanie. Comme par exemple, ces lavandières qui louent leur bras pour gagner leur vie. C’est ainsi que vit le petit peuple du fleuve Irrawaddy à Mandalay.

La suite de l’article est regroupée sur la note suivante : Irrawady, le peuple du fleuve

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7 commentaires sur “Le peuple du fleuve Irrawaddy à Mandalay”

  1. J’aime ces reportages qui montrent la vie d’ailleurs sans fioritures, telle qu’elle est, dans sa simplicité. Bonne journée Sergio

  2. Belles images, mais quel pénible travail; les corps plié, le poids du linge…on dit souvent que la libération des femmes a commencé avec les machines à laver.

    Cette poupée en chiffon séchant sur le poteau a quelque chose de très émouvant. Merci Sergio.

    1. C’est vrai que la machine à laver à soulagé les femmes occidentales. Je dis bien soulager, car les tâches ménagères restent encore lourdes. Quant à ces femmes admirables, elles ne se posent pas ce genre de question. Les tâches quotidiennes sont toutes dans l’immédiateté de la survie. La Birmanie fait partie des pays au niveau de vie les plus bas du monde. Par ailleurs c’est vrai que cette poupée qui sèche sur un poteau est émouvante.

    1. Oui c’est du tanaka, c’est une préparation à base des racines de l’arbre tanaka qui est pilé jusqu’à l’obtention d’une crème. C’est une crème de beauté qui protège la peau contre les morsures du soleil.

    2. Oui c’est bien ça il s’agit de l’âme. Cette visite m’a beaucoup touché, elle éclaire dans ce moment difficile sur la vraie précarité de ces peuples qui trouvent des solutions au quotidien pour assurer leur survie.

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