Préambule au circuit de la grotte et des chaos de Stang Ludu
Bertrand l’initiateur du circuit vous invite dans son univers magique et phonétique puisque le panneau d’information de la randonnée pédestre est le suivant : « La grotte et les Kaos de Stang Ludu » . Les puristes liront « La grotte et les chaos de Stang Ludu ». Mais en définitive, le circuit de randonnée des Kaos est donc le nom phonétique que le découvreur, ouvreur de chemins de randonnée Bertrand Penvern revendique. Il explique sa démarche de liberté qui lui permet une sortie des conventions qu’elles soient orthographiques ou autres. C’est ainsi que Bertrand, le créatif et l’imaginatif fonctionne. Par ailleurs Bertrand collabore en binôme avec Alain. Les deux compères sont décidément des dénicheurs indissociables de beaux circuits de randonnée sur les territoire de Lanvénégen et de Querrien. De plus la démarche est totale puisque la définition du circuit passe par les inévitables négociations de droit de passage puisque les circuits empruntent souvent des propriétés privées.
De surcroît l’aventure ne fait que commencer car une fois le circuit défini, il y va son aménagement. Ainsi en est-il aussi du balisage comme de la fabrication de passerelles qui enjambent les cours d’eau. A cela s’ajoutent ici et là des opérations de débroussaillage. Mais la prestation XXL ne s’arrête pas en si bon chemin car Bertrand anime le parcours. Il fabrique a partir de bois mort ou de matériaux de récupération des objets qu’il dissémine le long du parcours. Pour l’exemple il y a Paulette, la mythique autruche ou encore des moulins à eau pour ne citer que ceux là. Il y a encore bien d’autres objets inanimés, quoique ? Puisqu’ils semblent vivre tellement ils s’intègrent dans le parcours.
Description du circuit des « la grotte et les chaos de Stang Ludu »
Le circuit de la grotte et des chaos de Stang Ludu démarre devant le stade et l’école de Lanvénégen . Il y a beaucoup de places disponibles où l’on peut facilement garer sa voiture. Nous sommes alors sur la rue du stade qui rejoint la route de Guiscriff. Sitôt après l’école, sur la gauche un panneau indique les circuits l’un est celui des asphodèles, l’autre est le nouveau circuit des chaos et de stang Ludu. Un chemin pentu sous les feuillus de châtaigniers et de chênes descend jusqu’au ruisseau de Pennéven à 300 mètres en contrebas.
La description topographique du circuit, séduit par le circuit est une création de Jean-Pierre. Elle est consultable sur le site de Visorando en version ordinateur ou en application téléphone portable.
Entrez dans l’univers merveilleux du circuit de la grotte et des chaos de Stang Ludu
Pour commencer : Le ruisseau de Pennéven
Le ruisseau de Pennéven est un cours d’eau qui ne se tarit pas même au plus sec de l’été. Il approvisionne le réseau d’eau de Lanvénégen et du Faouët. Cet année, Bertrand a eu la surprise de voir de nombreuses frayères à truites. Pour lui c’est une preuve indiscutable que la qualité des eaux s’améliore. Maintenant abordons l’éthymlogie de Pennéven qui est signifiante. Donc le nom est vraisemblablement composé du terme penn qui en gaélique signifierait colline ou mont suivi de even, soit (if). Ce serait donc à l’origine une colline ou des vallons d’ifs. Or le ruisseau de Pennéven descend bien de collines boisées, c’est le moins que l’on puisse dire. Quant aux ifs, il y en avait certainement, car souvent les noms bretons de lieu étaient descriptifs.
Paulette l’autruche et un banc d’accueil
Paulette, l’autruche vous accueille. Tournent aussi les petits moulins à eau alors que sur le rivage des petits jeux sont à disposition des promeneurs. En surplomb, un banc taillé dans un tronc d’arbre permet de faire une pause sous le couvert des arbres.
Paulette l’autruche ne se met pas la tête dans le sable du ruisseau de Pennéven. Création de Bertrand
A partir de ce point ouvrez la parenthèse
Même si l’on est en début de la randonnée, cet endroit calme est inspirant. Alors la devise de la randonnée n’est pas seulement la marche comme fin en soi mais la marche comme moyen d’ouvrir des parenthèses. Celles si sont comme autant de bulles d’oxygène où la partie contemplative fait partie intégrante de la randonnée. Mais à chacun ses motivations, la marche contemplative est libératoire, la marche sportive l’est tout autant.
Vers Lanzonnet ce « petit Lorient »
En passant sur la passerelle qui enjambe le ruisseau de Pennéven on emprunte un chemin creux qui serpente entre les talus boisés. Ils abritent une flore variée qui s’épanouit au printemps. Y fleurissent jacinthes des bois, renoncules, ajoncs ou encore des genêts qui prospèrent dans les landes avoisinantes. Le village de Lanzonnet n’est qu’à une dizaine de minutes de marche. C’est plus exactement un hameau qui compte 15 maisons de pierre. Et il ne s’agit pas de pierres lambda puisqu’il s’agit de maisons maçonnées avec des blocs de pierres ajustées sans joints apparent. Tout ceci est le témoignage d’un travail de compagnons qui maitrisaient parfaitement la taille de la pierre. Ces maisons qui furent désertées depuis les décennies 70-80 reprennent désormais vie. Ce village était très peuplé avant guerre et on le nommait «le petit Lorient ». Il est exposé Sud Est à flanc de colline. Une fontaine en bas du village servait pour les besoins domestiques mais aussi d’abreuvoir aux vaches, cochons, chevaux et même aux poules.
En direction du village de Kerhargour
Après la traversée du village on bifurque à gauche pour emprunter une chemin pentu. Un panneau directionnel confirme la route à suivre . La dernière maison du village à gauche sert de repère puisque à une centaine de mètres plus loin on arrive à une croisée de chemins. Ce sont des anciens chemins d’exploitation agricole ou peut être des voies du moyen âge. L’un de ces chemins continue tout droit en direction du « Paradis », mais celui ci fait partie d’une autre randonnée. Le « circuit des moulins » n’est donc pas la bonne option. C’est ici que le chemin de randonnée du circuit de la grotte et des chaos de stang Ludu bifurque à droite. A ce stade c’est le même chemin que celui du circuit des asphodèles.
Sous vos pieds une roche magmatique de 300 millions d’années
Sous nos pieds une roche magmatique de 300 millions d’années
Ici l’eau ruisselle tout l’hiver car nous car nous sommes sur un massif granitique très homogène issu de la formation de la chaîne hercynienne (300 Ma). Cette couche magmatique était à l’époque enfouie sous la chaîne montagneuse mais l’érosion a enlevé les parties les plus friables. Il reste donc désormais cet immense plateau granitique monolithique qui laisse apparaître de ça de là des bloc ou parfois des chaos.
Sur les traces de charretiers du moyennage
Cette voie carrossable laisse ici des traces indélébiles d’un trafic intense puisqu’il s’agit de saignées dans le granit dû au passage des charrettes. Ces saignées ont creusé la roche sur une profondeur entre 10 à 20 cm. D’après un historien ce chemin daterait du moyennage car on trouve un écartement des roues de 1,20m alors que les charettes gallo-romaines avaient un écartement invariable de 1,43 m.
Ce chemin charretier comporte des saignées profondes dans le granite. Leur écartement correspond au passage des charrettes soit 1,20 m
En cheminant vers la grotte et les chaos Stang Ludu
Cette première partie de parcours correspond aussi au circuit des asphodèles. Nous quittons l’endroit où les empreintes des charretiers sont visibles. Lorsque 500 mètres plus loin nous atteignons une intersection dans le sentier de randonnée. Le sentier en ligne assure la continuité du circuit des asphodèles tandis que le sentier de gauche dirige vers le nouveau circuit de la grotte et des chaos de Stang Ludu. C’est donc cette voie qui est à suivre. Encore une fois, c’est un bien joli chemin creux qui nous conduit jusqu’au village de Kerhargour. A ce niveau une signalétique de couleur jaune indique le parcours. Ils suffit de suivre le fléchage pendant 300m. Ensuite on tourne à gauche selon les indications du panneau.
Le hameau de Kerhargour
Cet hameau comprend 8 vieilles maisons de pierre. C’était des petites fermes dont le maigre cheptel se composait de 2 ou 3 vaches et autant de cochons. Ces animaux subvenaient aux besoins des familles, les vaches pour la fourniture du lait et du beurre, les cochons pour la viande. Il est vrai que les hommes travaillaient jusqu’au milieu du 20e siècle sur le site des kaolins distant de 2 kms. On y extrayait le kaolin qui était transformé en galettes avant expédition vers des industries de transformation. Notamment des fabricants de vaisselle en porcelaine. Ce village était pauvre car pour rappel nous sommes sur un socle granitique qui ne laisse pas passer l’eau. D’ailleurs en hiver le ruissellement est impressionnant. En conséquence, en absence de puits, il n’y avait pas d’eau potable à proximité.
Des murets qui sont anciens dont les pierres ressemblent à des orthostates
Vous êtes donc désormais dans un sentier bordé d’impressionnants talus assemblés en blocs de pierre monolithiques dont la disposition n’est pas le fruit du hasard. Devant ce travail de titan, pensez donc : Déplacer des blocs de pierre de plusieurs centaines de kilos exigeait un effort considérable. Ce qui laisse entrevoir un travail communautaire. En complément, force est de constater qu’il s’agit de vestiges très anciens. L’argumentation tient dans le fait que les talus plus récents sont assemblés en pierre sèches alors que dans le cas présent il s’agit d’une superposition ordonnée de gros blocs. Au final l’ordonnancement de ces murs massifs délimitent toutes les parcelles alentour. Il s’agit donc d’un patrimoine historique que nous devrions préserver à tout prix. Au final il est bien tentant d’imaginer le paysage pastoral de ce coin de campagne au Moyen Âge ou dans la préhistoire. Et bien sûr toute l’animation qui y régnait…
Le site de Kerancargour
Il semble qu’il y ait un lien entre le muret aux pierres qui ressemblent à des orthostates et le site intrigant de Kerancargour que Bertrand qualifie de grotte et de chaos puisqu’ils sont seulement distants de quelques centaines de mètres. Le cheminement continue donc à travers un magnifique sentier qui traverse un bois puis des landes. Lorsque soudainement apparaît un gros amas de rochers recouvert d’immenses dalles de granite. Nous sommes sur un site qui est connu sous le nom de « la grotte du diable » car il y a une grotte sous cet amoncellement de roches. A ce stade observons l’ordonnancement du site qui ne laisse pas planer de doute. Il s’agit bel et bien d’un site préhistorique car le chaos naturel ne donnerait pas le même résultat. L’hypothèse d’une chambre funéraire semble donc plausible mais cela reste à confirmer. Pour éclaircir cette énigme, Bertrand précise qu’un historien spécialiste en la matière se déplacera sur le site pour expertise.
Vers le ruisseau de Saint-Antoine
La randonnée continue par le passage dans un sous bois marécageux. A cet endroit le bruissement du ruisseau Saint-Antoine qui coule dans la vallée est perceptible. Le ruisseau Saint-Antoine prend sa source à Guiscriff, en amont de la chapelle Saint-Antoine. Durant son parcours il s’enrichit de l’apport d’eau de nombreux affluents du bassin versant. Le caractère granitique du plateau favorise le ruissellement des eaux. Cet apport vient grossir rapidement le débit du ruisseau Saint-Antoine. Ainsi, durant les périodes pluvieuses le ruisseau de Saint-Antoine devient vite un petit torrent.
Bertrand et Alain sont des constructeurs ingénieux de passerelles
Une passerelle sympathique construite par Bertrand et Alain lors des grandes crues entre fin décembre et janvier 2023 permet le passage sur la rive opposée. Ici l’on passe de la commune de Lanvénégen à celle de Guiscriff. Remontez tranquillement le cours du ruisseau. Il y a souvent des traces laissées par les dernières crues car ce cours d’eau devient vite petit torrent en période de forte pluviométrie. Un peu plus loin, le ruisseau coule entre les roches où des petits affluents le rejoignent. Là, un belvédère constitue un point d’observation privilégié. Au pied d’un hêtre, vous pouvez vous asseoir sur un banc «made in Bertrand». En ce lieu, loin de l’activité humaine on entre dans le monde du silence.
A propos du silence
Ce n’est pas un silence intégral, inquiétant. Non bien au contraire c’est un silence qui s’apprécie au bruit de l’eau qui cascade entre les rochers, au bruissement des branches qui swinguent au moindre souffle d’air ou encore à l’écoute du chant cristallin d’un oiseau.
Le canal d’amenée d’eau vers les moulins de la Trinité
Les vestiges d’un barrage qui coupait partiellement le cours du ruisseau Saint-Antoine est encore apparent. C’était le départ du canal qui au début du 20e siècle conduisait l’eau vers le moulin de la Trinité. Le canal débute sur un plateau rocheux qui a été excavé et tout ça de main d’homme. Comme le dit Bertrand, c’est un travail de « dingue ! ». Il serpente ensuite à travers les prés sur environ 2kms. Le meunier de la Trinité était certainement un homme très courageux puisqu’il se rendait chaque jour à pied au barrage. Arrivé à ce point, il ouvrait ou fermait la vanne d’alimentation du moulin. Cet homme sans aucun doute aimait la nature sauvage de l’endroit conclut Bertrand.
Vers Stang Ludu
Vous êtes à mi-parcours d’une bien belle rando. Le retour commence avec à droite des chaos, gros blocs de granite qui surplombent le sentier de randonnée. Le décor mystérieux est à la fois beau et impressionnant de virginité. Voilà une belle prairie qui décline vers les abords de la vallée de Saint-Antoine. Nous sommes à 200 m du village de Stang Ludu nom breton que l’on peut traduire par la vallée des cendres. Et cela a du sens puisque autrefois ce village était peuplé de familles de charbonniers. Ils fabriquaient ici du charbon de bois. Pour cette raison, Stang Ludu était connu avant guerre dans toute la Bretagne. Et c’est le charbon de bois qui à cette époque assurait la notoriété de ce petit groupe de maison perdu dans la forêt morbihanaise. Désormais de cette époque laborieuse Il ne reste plus que quelques maisons en pierre de taille. Ce sont les vestiges d’une époque prospère. Ils portent le témoignage de la richesse des habitants du lieu de fin du 19e au milieu du 20e siècle.
Les arbres remarquables de Stang Ludu
Au milieu de ce vallon verdoyant trônent en majesté des chênes centenaires dont les circonférences sont imposantes. Et près des maisons, il y a un if, encore plus ancien qui est tout autant remarquable. L’if est un arbre sacré pour les Celtes. Il est l’emblème à la fois de l’immortalité et de la mort, ainsi que le symbole du souvenir. Avec cette symbolique un tel site continue à vivre dans nos mémoires.
Des bovins au royaume du pâturage
Le village quant à lui fut déserté lorsque l’activité charbonnière cessa. Et le manque de route carrossable entraina la désertification du site. Les maisons furent définitivement abandonnées depuis les années 70. A défaut d’entretien, elles sont désormais en ruine. Elles n’abritent plus que des oiseaux cavernicoles et peut être un peu de faune. Pour le reste du tableau, des bovins épars s’adonnent à cœur joie dans le vert pâturage de la vallée de Stang Ludu. Pourraient ils rêver de meilleur endroit pour brouter, rien n’est moins sûr.
Des chaos vers la chapelle de la Trinité
Traversez le petit bois (signalétique jaune) en empruntant un chemin très rocailleux en direction de la chapelle de la Trinité. C’est un très beau sentier facile d’accès. Il est bordé de talus en pierre sèches recouverts de mousse. Il s’agit de la sphaigne un des premiers végétaux apparus sur terre. Et on comprend pourquoi. En effet le sphaigne se caractérise par une adaptabilité totale aux environnements les plus hostiles. Il résiste au froid comme à une sécheresse extrême rien ne semble pouvoir l’atteindre. Enfin dernier point, elle joue un rôle déterminant de régulateur hygrométrique puisque un kg de sphaigne absorbe 20 fois son poids en eau. Il s’avère donc être un puissant auxiliaire biologique pour le microcosme naturel.
La toiture de la chapelle de la Trinité
La jonction du chemin de randonnée aboutit à la hauteur de la route de Kergariou Neve. Une route goudronnée en pente qui domine le moulin et la chapelle de la Trinité. La chapelle vient de retrouver de sa superbe avec une nouvelle toiture qui vient d’être achevée le premier jour du printemps 2023. Tous les deux, Alain et Bertrand assistaient à ce grand moment. Pour la petite histoire la chapelle brûla en 1948 année de naissance des deux compères. Et en ce jour de printemps 2023, ils vivaient une renaissance ! La chapelle a donc traversé le temps sans toiture, soit 75 ans. A cette occasion, Bertrand et Alain ont récupéré quelques ardoises commémoratives. Quoi qu’il en soit avec ou sans toiture, la chapelle dans la vallée du Naïc et du confluent du ruisseau de Saint Antoine était et reste unique tout autant qu’elle est magique.
Le moulin de la Trinité
Le moulin est propriété privée. Il est visitable sous conditions particulières. Il comporte 4 meules.
La Trinité est à la croisée des chemins de randonnée
La chapelle de la Trinité est le point de jonction de deux randonnées l’une étant le sentier des moulins et l’autre étant le circuit de « La grotte et les Kaos de Stang Ludu » dont le parcours fait l’objet du présent billet. Nous sommes ici dans le Morbihan aux confins du Finistère.
Retour vers le point de départ de la randonnée à Lanvénégen
Le chemin de retour longe le Naïc grossi des eaux du ruisseau Saint-Antoine. Le passage emprunte un ancien canal d’amenée qui conduisait l’eau vers un autre moulin en aval. Ce canal qui était obstrué par des végétaux et des arbres à terre est désormais un sentier de randonnée. Là encore des passerelles enjambent le Naïc ou ses petits affluents. Ce chemins de randonnées sont un patrimoine naturel exceptionnel. Le parcours se poursuit jusqu’à Varzal où un pont qui enjambe le Naïc d’un côté nous sommes en Finistère, de l’autre dans le Morbihan. Il suffit de suivre les flèches et panneaux, une petite montée, un dernier effort et nous voici au point de retour. Asseyez vous sur le banc sous le regard bienveillant de Paulette et soufflez un peu.
Ce fut une riche et verte promenade dans la nature et dans l’histoire. Et soudain un bien être vous envahit vous venez de parcourir entre 10 et 12 km.
Informations complémentaires :
- Le circuit emprunte d’anciennes voies charretières ou des sentiers en bon état.
- Il nécessite d’être en bonne condition physique, sans plus, car il ne présente pas de difficultés particulières.
- En période de fortes pluies le port de bottes ou de chaussures de marche étanches est conseillé. En effet quelques passages, peu nombreux il est vrai, peuvent être délicats.
- Ce circuit traverse parfois des propriétés privées qui donnent leur accord tacite.
- Merci donc de respecter la nature en n’y laissant que l’empreinte de vos chaussures.
Bonsoir Sergio. Vue l’heure et la dure journée qui prend fin seulement maintenant pour moi, je n’ai fait que survoler ta publication. Mais je reviendrai tourner tes pages en prenant mon temps pour visualiser tout ce que tu nous offres en texte et photos. A tout bientôt. Bonne nuit. Chinou
Bon Jour car la nuit est passée. Pas de soucis : A bientôt
Me revoilà et je dois avouer que j’ai bien fait de reporter à aujourd’hui. En effet ta publication mérite qu’on prenne son temps, qu’on s’attarde sur chaque photo et surtout qu’on ne néglige pas les explications. Je n’ai pour autant pas été très dépaysée car ce Kaos ressemble un peu au chaos granitique du Sidobre que j’ai parcouru il y a quelques années. Même configuration granitique, végétale, petits cours d’eau, paréidolies parfois surprenantes etc….J’aime bien et partage tout à fait ce que tu dis à propos de la marche et des parenthèses. Tu as réalisé une superbe photo où la lumière est très belle du petit moulin sur les bords du Naïc.
Bonne soirée Sergio et à bientôt.
Heureux que tu apprécies cette immersion en pleine nature. Le mérite revient aux découvreurs – ouvreurs de chemins.
Bonsoir Sergio,
Un sacré billet à découvrir aujourd’hui, mais bien mérité pour cet endroit magnifique.
Merci pour toutes ces explications très intéressantes et pour les superbes photos.
J’ai pas mal circulé dans cette région, mais là pour moi c’est une découverte que j’ai beaucoup apprécié.
Belle fin de soirée.
PS : j’ai répondu à ta question d’hier sur le nourrissage des oiseaux.
Oui j’ai lu ta réponse concernant le nourrissage des oiseaux. Cet écart est certainement lié aux conditions météo généralement moins rigoureuses. Concernant Bretagne Vivante : C’est une association qui oeuvre depuis 1958. C’est la principale association de protection de la nature et de la biodiversité en Bretagne. Elle gère des sites protégés et des réserves naturelles en Bretagne. Merci de ton appréciation que je transmettrai à Alain et Bertrand qui sont les initiateurs du circuit. Le mérite leur en revient. Bonne soirée Pascale
Bonjour
J’ai découvert votre site en cherchant des informations sur les environs de Scaër Guiscriff, Saint-Thurien et Lanvénégen dont une partie de ma famille est originaire.
La description et les superbes photos du circuit de la « Grotte et du chaos de Stang Ludu » m’ont captivé et, il y a une semaine, j’ai pu parcourir ces sentiers. Magique, il n’y a pas d’autre mot.
J’y ai relevé un trace GPS et je sollicite votre accord pour la décrire et la partager sur le site Visorando en mentionnant votre site.
Bonne fin de journée.
Jean-Pierre
Merci pour cet apport. La réponse vous est communiquée dans votre messagerie. Cordialement