Depuis la nuit des temps, le coucher du soleil suscite la fascination des humains. C’est en effet un moment étrange qui rappelle à l’homme le statut éphémère de son existence au regard de la toute puissance du monde cosmique. À ce moment précis, des émotions confuses l’envahissent. Il y a de l’émerveillement devant la beauté de l’instant. Entre lumière de l’instant et les ténèbres qui suivent, des instincts primaires refont aussi surface. Car bien que profondément enfouis dans l’inconscient, la nuit était source d’inquiétude. À un tel point que l’homme utilisa de nuit le feu comme substitut au soleil. Mais revenons au coucher de soleil à Cabo Carvoeiro en pointe de la péninsule de Peniche . En ce lieu où l’océan est proéminent, la pureté de l’atmosphère donne souvent des couchers de soleil flamboyants. C’est l’endroit parfait pour vivre un moment en totale connexion avec le cycle immuable du jour et de la nuit.
Flamboyance d’un Coucher de soleil à Cabo Carvoeiro
Coucher de soleil à Cabo Carvoeiro – derniers instants
Crépuscule sur les îles Berlengas
Lorsque le soleil comme littéralement happé s’enfonce dans la ligne d’horizon il y a comme un petit moment de flottement. Ce n’est plus le jour, ce n’est pas encore la nuit mais c’est un entre deux. Ce moment tout aussi fugace que l’instant du coucher est le crépuscule nocturne.
En peinture, on appelerait çà un « pas à pas »; tu nous fais vivre ce coucher de soleil comme si nous étions à tes côtés , là, les yeux grands ouverts et le souffle retenu pour profiter, admirer, entrer en communion avec les fondamentaux de l’univers.
Bonsoir Sergio. Moi ils m’épatent toujours les couchers ou aussi les levers de soleil. Aucun n’est jamais le même, les couleurs changent, même le soleil change jusqu’à parfois ressembler à un ballon de rugby. Ils m’apaisent, et même quand ils sont dans un ciel très nuageux, ils m’épatent oui, c’est bien le mot. L’univers, Dame Nature, le hasard, qu’importe qui nous offre de tels spectacles, ils sont pur bonheur. Merci à toi d’avoir partager celui-là avec nous.
En peinture, on appelerait çà un « pas à pas »; tu nous fais vivre ce coucher de soleil comme si nous étions à tes côtés , là, les yeux grands ouverts et le souffle retenu pour profiter, admirer, entrer en communion avec les fondamentaux de l’univers.
Bonsoir Sergio. Moi ils m’épatent toujours les couchers ou aussi les levers de soleil. Aucun n’est jamais le même, les couleurs changent, même le soleil change jusqu’à parfois ressembler à un ballon de rugby. Ils m’apaisent, et même quand ils sont dans un ciel très nuageux, ils m’épatent oui, c’est bien le mot. L’univers, Dame Nature, le hasard, qu’importe qui nous offre de tels spectacles, ils sont pur bonheur. Merci à toi d’avoir partager celui-là avec nous.